dimanche 16 novembre 2008

REIMS : la sombritude


Et maintenant, que vais-je faire ?
Vais-je devoir voter par défaut ou par contumace ?

J'avoue que j'étais inquiet et qu'au fur et à mesure que se déroulait le Congrès, je voyais s'éloigner la perspective du grand rassemblement. C'est bien dommage !
On s'écharpe pendant que Nicolas se pavane au G20 et que la France souffre! Quelle misère!
Notre Parti n'est véritablement fort que s'il existe une forte unité entre ses militants.
Notre débat d'idées ne peut être constructif que si les socialistes savent partager à un degré supérieur de fraternité, une haute conscience et une maturité politique très avancée .
C'est la condition essentielle pour que la pluralité des candidatures ne tourne pas à la foire d'empoigne, comme c'était le cas aujourd'hui à Reims, ou comme cela se poursuivra demain, plus sournoisement, dans les couloirs feutrés de Solférino.
Oui, ces vertueuses conditions étaient absentes à Reims.
La division entraîne la division et produit la défaite. Toujours!

Congressistes de tous bords, bas les pattes!
Rendez-moi mon Parti. Rendez nous notre Parti !
Vite !

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