dimanche 31 mai 2009

Elections européennes. J-7.


Une campagne électorale ce n'est jamais facile mais, pour ces élections européennes, la simple mobilisation de nos concitoyens c'est déjà tout un travail! Je l'ai vu sur le marché et dans ma tournée de tracts, notre première ennemie, c’est l’indifférence, la résignation, l’abstention. Quand j'ai rencontré des gens que je connais et que je leur ai tendu notre dernier tract, j'ai vu plus souvent que d'habitude des visages qui restaient fermés. Murés dans leur douleur. Celle du chômage, celle de la précarité, celle de la misère. «Pourquoi voter? Pourquoi encore voter? Que pouvez-vous pour moi? Que peut l’Europe pour moi? Et puis la crise, elle a tout emporté…»
Voilà ce que j'ai entendu, alors que, et c’est là le premier enjeu du 7 juin, tout ce que nous avons à porter auprès de ceux, trop nombreux, qui sont dans le doute c’est que, parce que justement la crise est là, il faut plus d’Europe, et au Parlement de l'Europe plus de députés de gauche, et au sein de la gauche plus de socialistes, pour plus d’efficacité!
Jusqu'à la dernière heure du dernier jour, faisons campagne. Faisons campagne sans relâche pour déjouer la stratégie de l'UMP qui a confié au Médias et à ses candidats la mission de faire peur et d’entretenir la démobilisation… Pour les responsables locaux de l'UMP, la consigne n'est pas «travailler plus pour gagner plus». Surtout pas. La campagne de l’UMP c’est : pas de tracts, pas de meetings, pas de réunions publiques. Pas de débat contradictoire. Et, le Pompon, c'est Rachida Dati qui l'a gagné! Plus personne n'ignore désormais la vision particulièrement claire de ce qu’est l’Europe pour elle : «l’Europe s’occupe de ce qu’on lui donne à s’occuper avec les personnes qui peuvent porter ces affaires à s’occuper »…
Mea culpae : on ne doit pas plaisanter avec l'Europe.
L' Europe mérite mieux que les sarcasmes de Rachida Dati , ministre en chute libre qui s'accroche à son éventuel mandat européen comme ses amis financiers s'accrochent à leurs parachutes dorés.
L' Europe mérite des députés combattifs, des députés toujours prêts à l'engagement, des députés qui s'investissent, des députés qui ont la volonté de réussir l'Europe plus juste, l'Europe sociale, l'Europe des peuples dont nous rêvons toutes et tous. L' Europe mérite mieux pour la représenter que ces gens venus des quartiers chics de Neuilly-sur-Seine ou du 16 ème. L' Europe mérite des hommes et des femmes de terrain, comme l'ami Jean-Louis Cottigny, un Ch'ti , actif, issu du monde ouvrier, un syndicaliste, accessible à tous ses électeurs. Comme Laurent Duporge, de Lievin.
L' Europe mérite des hommes et des femmes qui sont porteurs des espérances du peuple. Parce que l’Europe c’est notre quotidien. L’ Europe c’est l’avenir de notre environnement, c’est la sécurité alimentaire, c’est la protection des consommateurs, c’est la durée de notre temps de travail, c’est nos droits fondamentaux, c’est la protection des services publics, c’est même l’accès à des droits nouveaux comme Internet. Je ne vais pas énumérer une nouvelle fois l’ensemble des mesures du Manifesto, le programme commun aux 27 pays de la Communauté européenne, qui permettra dans les 100 jours qui suivront l'élection, si la Gauche européenne gagne, de mettre en place les mesures pour conjurer la crise, relancer l'emploi et faire repartir l'économie . Succinctement je vous rappelle que notre Manifeste prévoit d' harmoniser par le haut les droits des travailleurs, de faire converger les fiscalités et de lutter contre le dumping qui met en concurrence les salariés et organise les délocalisations. Notre Europe sociale n’est pas celle de la directive Bolkestein, celle du temps de travail hebdomadaire à 65 heures, ou celle de la libéralisation des services publics. Notre Europe c’est celle de la régulation financière, celle de la relance économique à travers un gouvernement économique, notre Europe c’est celle de la défense des services publics à travers une directive cadre, notre Europe c’est celle d’un salaire minimum partout, selon les capacités et les potentiels de chaque pays! c’est celle de la suppression des stock options, de l’interdiction des licenciements boursiers! Sur tous ces sujets, nous avons besoin de l’Europe pour avancer.
Notre Europe, c’est quand même autre chose que celle de la bande des Pic'sous, des Nicolas Sarkozy, Rachida Dati , Berlusconi et autres bons à rien !
Mes amis, voilà l'enjeu du 7 Juin, élection à un seul tour.
Si j'en crois les sondages qui annoncent 50% d'abstention, si vous allez voter, votre vote comptera donc double. Logique. En plus, avec un seul bulletin, vous pourrez sanctionner Sarkozy et adhérer à une Europe plus juste.
Pourquoi se priver? Allez voter le 7 Juin.

samedi 30 mai 2009

Méfiez vous du t'chat sur Internet



Bienôt Internet au service des toujours jeunes pensionnaires du Foyer Croizat?

Lamentable impolitesse.


Honte à Nicolas Sarkozy qui n'a pas invité Élisabeth II, souveraine de Grande Bretagne et du Canada, aux cérémonies qui marqueront le 55ème anniversaire du jour J. Les Anglais et Canadiens qui constituaient les deux tiers des troupes venues laisser leurs peaux sur les plages de Normandie pour écraser les nazis...
Le chouchou à la Carlafiore va pouvoir réaliser son rêve : vivre quelques heures dans l'intimité de Barack Obama, sans avoir à s'occuper d'une reine aux drôles de chapeaux, croire et faire croire, pendant quelques minutes qu'il est l'un des personnages qui comptent le plus dans le concert des nations.

samedi 23 mai 2009

La crise

Délinquance : OUI au démantelement de la bande des blousons dorés

Pendant que la Police est mobilisée dans la lutte contre la pseudo délinquance des enfants de 6 ans, elle n'ennuie pas les blousons dorés de la bande à Sarkozy ( 16 Légions d'Honneur distribuées aux invités du Fouquet's ) qui peuvent continuer à se goinfrer impunément. Pourtant, s'il est une délinquance qui mériterait d'être Karchérisée, c'est bien la délinquance financière .
Cet article du Monde:

«Ça sent la fin". C'est ainsi que le juge Renaud Van Ruymbeke décrit le climat qui règne au pôle financier du tribunal de Paris. Les quatorze juges de la "section économique et financière" savent leurs jours comptés. Au moment où Nicolas Sarkozy prévoit la suppression du juge d'instruction, les spécialistes de la délinquance économique voient le nombre de leurs affaires se réduire comme peau de chagrin. "La réforme de la suppression du juge d'instruction a été largement anticipée", note M. Van Ruymbeke. Entre 2007 et 2008, le nombre de dossiers confiés par le procureur à des juges d'instruction - ils ne peuvent pas s'autosaisir - est brutalement passé de 467 à 251 pour l'ensemble des affaires, santé publique (quatre juges) et délinquance astucieuse (les escroqueries, neuf juges) comprises.
La chute est vertigineuse pour les délits financiers les plus complexes, qui ont fait la gloire et la raison d'être du pôle parisien créé en 1999 : 21 informations judiciaires ont été ouvertes en 2008, contre 88 en 2007 (et 101 en 2006). Depuis le début de l'année 2009, le procureur de Paris a ouvert six informations.
"J'ai pour six mois à un an de travail à plein temps, explique M. Van Ruymbeke. J'ai eu deux nouvelles affaires en 2008, dont la Société générale-Kerviel, trois depuis le début de l'année. Je gère un stock d'une vingtaine de dossiers. A terme, si le ralentissement se poursuit, la réduction du nombre de juges d'instruction me paraît inéluctable."
Les plus anciens constatent la fin d'une époque, celle des grandes affaires politico-financières et des figures qui les ont incarnées : Eva Joly, qui avait commencé à instruire l'affaire Elf, fait à présent de la politique. Philippe Courroye est devenu procureur de la République de Nanterre contre l'avis du Conseil supérieur de la magistrature et s'est opposé à Xavière Siméoni - qui va rejoindre la cour d'appel de Paris -, dans l'instruction des affaires de la Mairie de Paris. M. Van Ruymbeke est sous la menace d'une sanction disciplinaire, en marge de l'affaire Clearstream, qui, depuis 2004, a profondément divisé le pôle financier.
Les dernières affaires significatives - Antoine Zacharias-Vinci (délit d'initié, abus de bien social), Natixis-Caisses d'épargne, Bernard Madoff-BNP Paribas (abus de confiance), François Pérol (prise illégale d'intérêt) font l'objet, non d'instructions, mais d'enquêtes préliminaires. Dans ce cadre juridique, le parquet est maître du dossier, et du temps.
"Sortir une affaire financière et la soumettre à une juridiction dans un délai de douze à dix-huit mois, c'est assurer une meilleure justice et une meilleure répression", défend le procureur de Paris, Jean-Claude Marin, en fustigeant des instructions qui durent parfois plus de dix ans : "Si c'est pour juger au carbone 14 !"
"Nous ouvrons systématiquement une information quand il s'agit d'une affaire complexe, qui a des acteurs multiples et des ramifications internationales", précise-t-il. Le magistrat souligne qu'un plus grand nombre d'instructions ont été ouvertes sur les quatre premiers mois de l'année qu'à la même époque de 2008.
"Le parquet n'a pas la religion de ne pas saisir les juges, répond M. Marin. Il a celle de mieux les saisir." Les enquêtes préliminaires se développent, convient le procureur : "C'est une tendance lourde. Ce n'est pas une volonté d'anticiper la suppression du juge."
Ce mouvement a été enclenché par le prédécesseur de M. Marin, Yves Bot, à partir de 2002. Il a trouvé sa consécration législative en 2004 avec la loi Perben II, qui a élargi les pouvoirs du parquet dans les enquêtes préliminaires. Il peut, par exemple, procéder à des perquisitions et à des écoutes téléphoniques, sous le contrôle d'un juge des libertés et de la détention.
De 2002 à 2005, les instructions financières en cours avaient donc déjà baissé : de 734 à 635. Le nombre de celles ouvertes par constitution de partie civile demeurait stable, autour de 80 par an. C'est par cette voie qu'avait démarrée l'affaire Elf. Mais la loi de 2004 a créé un filtre : elle oblige le plaignant à passer d'abord par le procureur, avant de pouvoir saisir le doyen des juges d'instruction. Entre 2007 et 2008, le nombre des instructions ouvertes par décision du parquet est passé de 42 à 14, tandis que le nombre de celles déclenchées par des particuliers par la constitution de partie civile a chuté de 46 à 7.
Les enquêtes préliminaires sont souvent contestées et font l'objet de tous les soupçons. Dans ce cadre, le parquet enquête depuis décembre 2008 sur des mouvements de fonds suspects du député PS Julien Dray. Depuis cinq mois, ce dernier n'a pas eu accès au dossier en dehors des extraits parus dans la presse. Le procureur justifie l'enquête préliminaire, car l'affaire ne nécessite ni mise en détention, ni investigations internationales.
Dans d'autres affaires politiques récentes, procureur et juge se sont affrontés. En avril 2008, la cour d'appel a tranché en faveur de la juge Françoise Néher, en ordonnant que soit instruite la plainte pour favoritisme déposée en 2007 contre Bernard Laporte par la direction du casino de Gujan-Mestras (Gironde). Le parquet s'était opposé à l'instruction, estimant que le délit n'était pas constitué.
"Le juge d'instruction peut faire des enquêtes sur les gens que le pouvoir national ou local protège, rappelle Guillaume Daieff, lui-même juge au pôle délinquance astucieuse, et membre de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire). Ce n'est pas toujours le cas du parquet, comme le montre l'affaire des biens mal acquis des chefs d'Etat africains."
Cette affaire fait polémique. Mardi 5 mai, contre l'avis du procureur, Françoise Desset, doyenne des juges d'instruction du pôle financier, a jugé recevable la plainte déposée par l'ONG Transparency International et un contribuable gabonais pour "recel de détournement de fonds publics", contre les présidents Omar Bongo du Gabon, Denis Sassou-Nguesso du Congo et Teodoro Obiang de Guinée-Equatoriale. Le parquet a fait appel. "C'est une décision strictement juridique. La chambre de l'instruction tranchera", se défend M. Marin.
"Il existe une volonté de main- mise du pouvoir politique sur les parquets, affirme M. Van Ruymbeke. Il faut manifestement éviter que les juges d'instruction, qui échappent à toute tutelle du pouvoir exécutif, ne sortent des affaires politico-financières comme ils l'ont fait depuis une vingtaine d'années." Parmi les plus jeunes du pôle, une juge dit : "L'adversité nous soude, ça sent le foyer de résistance contre la suppression des juges d'instruction."
Le procureur de Paris conclut : "Nous n'attendons l'approbation de quiconque. Le procureur général est avisé de nos décisions. Je ne suis pas un agent de l'exécutif, je défends l'intérêt général."
Nathalie Guibert et Alain Salles

vendredi 22 mai 2009

Journaux et Informations


On confond souvent informations et journaux.

La société n'a pas besoin de journaux au service du pouvoir en place. Elle a besoin d'un journalisme véritable, en tant que contre pouvoir, pour assurer l'équilibre de notre démocratie.


Pour dénoncer, comme à Hénin Beaumont, les mauvais politiques et il y en a autant à droite qu'à gauche, on a besoin d'un journalisme indépendant, pour contre balancer l'alliance malsaine du pouvoir politique avec la finance ( qui n'a pas de patrie) et leur intrusion permanente dans nos vies quotidiennes.


Qui a proféré ces propos que ne renieraient pas nos "révolutionnaires" modernes?

«Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d'avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n'importe quel abaissement de la nation.

Déjà en 40,elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement! Pétain était un grand homme. Pas besoin d'austérité ou d'effort! Pétain avait trouvé l'arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.

Bien entendu, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui jusqu'à moi ont dominé. La Révolution française n'a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu'est la bourgeoisie. Cette classe qui s'est de plus en plus abâtardie, jusqu'à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu le populo ne partage pas ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l'intérêt du pays. Il ne s'y trompe pas souvent."


Eh bien c'est le Général de Gaulle, écrivant à son Ministre Peyrefitte,le 16 janvier 1963 !

Sanctionner Sarkozy et Promouvoir une Europe sociale plus juste




A quinze jours de l'élection européenne, il faut amplifier davantage notre mobilisation , convaincre que l'abstention n'est pas une fatalité contagieuse lorsque l'Europe est en jeu et démontrer que l'éparpillement des voix de gauche en faveur de listes protestataires ne représente qu'un défouloir aux plaisirs éphémères, masquant un avenir stérile.

Il faut metttre à profit ces derniers jours, ces dernières heures pour plaider la cause d'un vote utile, non pas tant en faveur du parti Socialiste qu'en faveur d'une Europe aux ambitions retrouvées.Il n'y a qu'un seul tour et les listes qui reccueilleront moins de 7 à 10% n'auront vraisemblablement pas d'élus

Par un même geste, par un vote identique, nous avons en effet la possibilité le
7 juin prochain de sanctionner démocratiquement la politique de Nicolas Sarkozy et de poser la première pierre d'une véritable évolution de la construction européenne.

Je l' ai dit et je le répète aujourd'hui : une victoire de l'UMP le 7 juin prochain serait interprétée à l'Elysée et à Matignon comme un encouragement à poursuivre une politique dont souffrent aujourd'hui bon nombre de Français.

Une abstention record peut rendre possible ce qui serait une véritable catastrophe politique .

Refusons cette abstention, allons voter, faisons voter !

Mais ce vote sera d'autant plus utile qu'il aura bel et bien des effets européens, dans le cadre d'une démarche importante de refondation du socialisme continental qui s'est en particulier illustrée en décembre dernier par l'adoption unanime d'un Manifeste commun aux 27 adhérents du Parti Socialiste Européen. Aucune autre formation politique en Europe ne s'est jamais doté d'un tel outil politique. Il s'agit là d'un programme commun inédit, ambitieux et apte à réunir enfin cette majorité nouvelle et progressiste au sein des institutions européennes, qui nous manque cruellement.

L'Europe libérale, qui soulève tant de doutes et suscite tant de distance avec ses citoyens n'est pas une fatalité. La crise économique en a malheureusement affiché les limites et les dangers. Il est temps d'en infléchir le destin. Pour ce faire, partout en Europe, les citoyens disposeront le 7 juin prochain d'une formidable opportunité.

Il est crucial que chacun s'en saisisse, en votant utile.
Utile pour leur quotidien français, utile pour leur avenir européen.

3 ème journée du souvenir


Le dimanche 17 Mai 2009, à 9h30 les socialistes harnésiens étaient nombreux, autour de Paul et ses enfants, pour fleurir la tombe de Thérèse et déposer des roses sur celles des militants disparus depuis plus longtemps mais dont le souvenir est toujours vivant dans nos cœurs .

Si nous aimons nous retrouver lors de nos réunions pour vivre ensemble des moments tournés vers l'avenir, nous avons décidé en 2007 qu' un temps devait être pris pour honorer le souvenir de nos camarades disparus. Pour s'inscrire dans la durée, et c'est le sens de toute action politique, il paraît nécessaire de préparer le relai du flambeau et essentiel de savoir conjuguer Mémoire et Avenir.

Existe-il un monde meilleur ? Ils le savent maintenant, René, Marie Thérèse, Jean-Paul, Irène, François, Thérèse..... et tant d'autres ainés qui avant eux ont lutté et porté notre bel idéal.

Salut à vous et Merçi camarades. Jamais vous ne nous quitterez. Comme les terres brulées, chantées par l'ami Brel, vous nous avez donné plus de blé qu'un meilleur avril....

mardi 5 mai 2009

Encore trois ans à tirer



«Heureux ceux qui ne croient pas au Sarkozisme,ils ne sont pas décus».


On est déçu quand on espérait du bon et qu'à l'arrivée on constate du mauvais.

Eh bien aprés 2 ans de Présidence, selon un sondage , 63 % des français jugent que le bilan de Sarkozy est négatif et 65% se disent être décus par son action.
Dans son Fan' Club, ils seraient 55% a être encore fiers de leur héros en dépit des gaffes, des erreurs et des catastrophes qu'il accumule.

« Nicolas, tu le dis et tu le répetes sans cesse, partout, à la télé, à la radio, dans les meetings, tu le dis et le répetes à tout le monde, aux travailleurs, aux patrons, aux banquiers, aux ministres, aux étudiants, aux fonctionnaires :
« Quand on a des mauvais résultats, il faut partir! »
"Alors tu comprendras que je te dise maintenant mon petit Nicolas, qu'il faut que tu partes, il est temps que tu laisses la place à quelqu'un d'autre, quelqu'un de compétent, de sérieux. Je ne te dis pas "Casse toi pov'con". Je te dis gentiment de partir. Pars Nicolas. Pars vite et ne reviens plus."

Socialiste Harnésien.

ma bibliothéque


Endroit magique . Calme. Paix et sérénité
Pays de nulle part qui me conduit à celui des songes, des rêves, de l'enfance, de la vie.





"Marcher dans la nature, c'est comme se trouver dans une immense bibliothéque où chaque livre ne contiendrait que des phrases essentielles "
Christian Bobin.

Oh le biau zoziau




Héron ou cigogne? En tout cas un bel woazô!

samedi 2 mai 2009

Quel couple extraordinaire


Se confiant à son Hebdo politique préféré,GALA, Carla qui sait compter jusque là, a indiqué que son mari de président avait « cinq ou six cerveaux remarquablement irrigués ».
En voyant cette photo du FIGARO, me rappelant que les bras vont toujours par paires ( voyez Vichnou), je me suis posé successivement ces deux questions :
1°) Où est le quatrième bras ?
2°) Le Figaro n'en fait-il pas un peu trop?

IL FAUT SAUVER LA LIBERTE DE LA PRESSE EN FRANCE

Quel couple extraordinaire !




IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN